Détails du programme

Point de départ:

Hôtels et auberges situés dans le centre de Bucarest

Durée:

5 heures (environ)

Détails de retour:

Retour au point de départ d'origine

Inclus

• Prise en charge a l'hôtel ou dans un lieu de votre choix.
• Fin de la visite a l'endroit souhaité.
• Guide en français.
• Visite privée et exclusive, il n'y aura plus d'autres personnes dans le groupe.

Non inclus

• Billets d'entrée au musées.
• Transport public.

Quand réserver?

Réservez des que possible pour garantir la disponibilité, surtout les week-ends et jours fériés.

Preuve du paiement

Nous vous enverrons un e-mail avec un bon que vous pourrez imprimer ou emporter sur votre portable pour la visite guidée.

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Pourquoi faire une visite guidée de Bucarest avec moi?

Parce que ce sera une expérience atypique. Inhabituelle. Surprenante. Singuliere. Différente.

La salle du Palais était l'un des bâtiments les plus exponentiels du régime communiste. C'est l'endroit ou les invités les plus importants du régime ont été reçus - y compris les dirigeants soviétiques tels que Nikita Hruşciov, Leonid Brejnev et Mihail Gorbachev. Ici Ceauşescu a organisé pour Gheorghe Gheorghiu-Dej le dernier spectacle du 23 Janvier, et aussi ici les congres du Parti communiste roumain ont été organisés.

Le début des années 50 a été marqué en Roumanie, par une grande campagne d'alphabétisation de la population. De plus en plus de personnes allaient a l'école et le nombre de livres et de publications imprimées augmente, ce qui conduit a l'idée de construire un complexe conçu pour répondre aux besoins de la propagande éditoriale et, en particulier, pour aider a déclencher la publication du Journal Scânteia, organe du Comité central du Parti ouvrier roumain. Ainsi, par une décision du Comité politique communiste roumain, au début de 1948, le Centre pour l'industrie graphique "Casa Scânteii" a été fondé, "afin de fournir a la classe ouvriere, a la paysannerie et a ceux qui travaillent, littérature et médias du parti ...

Sous le prétexte du tremblement de terre de 1977, le régime politique communiste a commencé a réorganiser le centre-ville de Bucarest. Des quartiers, des hôpitaux, des marchés, des églises ont été détruits. Tout a été enterré pour faire place aux reves communistes: une place ou vous pourriez organiser des rassemblements, des manifestations et d'autres événements dans lesquels des centaines de milliers de personnes y ont assisté et ont hébergé des personnes clés du parti. C'est ainsi que les trois kilometres de l'avenue Unirii sont apparus, mais le régime communiste n'a pas apprécié.

21 décembre 1989 - le premier jour de la révolution a Bucarest. Le mouvement de la rue, supprimé par des balles. La manifestation de Timisoara en 1989 a trouvé son écho a Bucarest le 21 décembre, lorsque l'Assemblée populaire convoquée par Nicolae Ceauşescu, avec des acclamations et des chants, des huées et des sifflets ont été entendues avec plus de force, les mouvements de rue qui ont suivi ont été supprimés par des balles et arrestations.